vendredi 26 septembre 2008

Le casse tête des bottes

Je ne sais pas pour vous, mais pour moi, acheter des chaussures déjà c'est compliqué mais acheter des bottes c'est quasi mission impossible...
Je pense que je suis assez standard comme nana (1m65, 52kg, je m'habille en 38), standard oui mais seulement jusqu'aux chevilles, parce qu'au niveau des pieds ce n'est pas complètement assorti : un bon 40,5 / 41 et bien étroit. Alors toutes les pompes sont en général trop larges, ou je les achète trop petites (ma spécialité...). Mais alors pour trouver des bottes c'est la misère : la tige du modèle 38 irait parfaitement sur mes jambes, mais dans celle du 40 ou du 41, je peux mettre deux sandwichs.
A un moment j'achetai des bottes chaussettes, qui plissaient plus ou moins sur mes petits mollets. Ensuite j'ai acheté une paire trop large que je pouvais mettre sur un pantalon sans soucis, dessous aussi comme ça on ne voit pas trop que ça baille. Avec une jupe j'avais bidouillé des espèces de surchaussettes très épaisses sans pieds (bas oui, au niveau du pied, la botte est déjà pleine...) : ça dépassait un peu et c'était pas forcément top, mais ça me donnait l'impression d'avoir trouvé une paire à ma taille !!
Et là, je crois / j'ai cru [le hic c'est que je commence à douter] qie j'ai trouvé LA PAIRE qu'il me faut. La redoute propose un modèle à mollet variable : il y en a pour les mollets gros, normaux ou fins. celles-là : Botte morphologique cuir mollet fin
Génial ! Allons-y pour les fins. Bon je prends du 41 au pif, on renverra s'il le faut.
Verdict : le 41 est trop grand en longueur de pied : on renvoie. Ce qui m'inquiète plus c'est que c'est vraiment très très grand au niveau du coup de pied, donc le 40 (qui en plus risque d'être trop petit) n'est pas forcément gagné à ce niveau la non plus. Si c'est le cas, c'est pas trop le style de ce que je cherche : pour porter avec une jupe, si j'ai l'air d'un cow boy ou d'un camionneur, ça craint...
Verdict la semaine prochaine : sinon je serai encore repartie pour une nouvelle recherche sans fin.
Il y a bien des cordonniers qui reprennent la couture le long de la fermeture éclair, mais le soucis c'est que si le coup de pied est carrément trop grand, ça ne le fera pas non plus. Alors l'investissement de base fait un peu flipper...

jeudi 25 septembre 2008

La voilà, celle qui est passée avant tout le reste !! un patron Avantages

C'est le patron du magazine Avantages du mois d'octobre.
La robe sixties.
Je l'ai un peu faite à ma sauce parce qu'elle devait être de plusieurs couleurs et en crêpe.
Moi je l'ai faite en "jogging" et unie. Pour que ça ne soit pas trop épais, j'ai fait les poches et les parmentures dans le reste de mon pantalon en lin pas fini... celui-là

elle est CANON, yapuka voir portée... je l'ai pas encore mise, elle est finie que depuis dimanche soir et j'avais envie de la mettre un jour de week-end en premier !!
En plus j'attends mes bottes demain, j'espère qu'elles m'iront...

... à suivre

Une petite robe blanche : un patron Simplicity

Cette petite robe là, je l'avais faite avant les vacances.
C'est un patron américain Simplicity.
J'adore les patrons américains, c'est tellement plus facile à faire ! Je ne comprends même pas pourquoi nous idiots de français et les allemands pareil d'ailleurs, continuons à faire des patrons sans les coutures : on perds un temps fou à marquer le patron ou à surfiler avant de tailler. Ensuite il faut faire correspondre les coutures en piquant avec des aiguilles, si on avait passé un fil de bâti pour marquer, il faut se galérer à l'enlever, alors que bien sûr : il s'est pris dans la couture tous les 5 cm au moins... Bref on a passé 10 plombes, alors qu'avec un patron coutures comprises comme ces gentils feignants d'américains font : on pose le patron, on taille au bord, on superpose les morceaux, ça correspond nickel chrome et YAPUKA piquer. En +, si le tissu ne glisse pas, je ne mets même pas d'épingles... elle est pas belle la vie ;)


En plus elle est même pas transparente alors je n'ai pas eu besoin de la doubler. Le seul soucis au départ c'est de trouver la taille : ils aiment bien les trucs amples nos amis les américains, alors j'ai bien pris mes mesures, j'ai choisi la taille et j'ai coupé. ERREUR : le truc de base, c'est de vérifier avec le patron papier que ça va. Mais on veut toujours aller vite alors on le fait pas : total, la première (qui en plus était marron), était magnifique posée sur le lit : mais alors une fois dedans (avant de couper l'ourlet en plus : les américains, ils font les choses neutres, pas trop court, pas trop sexy) : une vraie bonne soeur en bure dix fois trop grande. LA LOOSE TOTALE...

le 2e essai avec la robe blanche, un vrai bon en avant : j'ai mis 2h tout compris pour la faire et quand je me suis vue dedans : un vrai petit ange !! LA CLASSE

du coup j'en ai fait une autre (rouge) pendant les vacances... pas encore mise, mais bon.

Pourquoi on ne fini jamais ce qui est commencé ?

En couture comme ailleurs, j'ai toujours un tas de choses commencées... qui sais si je les terminerai un jour.

Le rayon "En cours à finir" du 25 août n'a pas bougé. La tunique en voile de coton n'est d'ailleurs même pas au stade commencé : le tissu est bien plié tout neuf dans son petit sac plastique de chez toto.


Mon pantalon en lin peut toujours attendre les beaux jours, maintenant il fait trop froid pour le mettre...

et pourtant il ne reste pas grand chose à finir : les boutonnières pour fermer les deux côtés du pont. et les ourlets.

et le pire c'est que j'ai fait autre chose à la place...